L’Or du Rock en images…
Le Verdur étant passé à la trappe, quelques artistes (Thomas Frank Hopper, Snooz et Virgin Prozac) ont décidé d’offrir (et oui, l’accès était gratuit et les artistes non rémunérés, seule une cagnotte libre était déposée à l’entrée laissant à chacun le choix de mettre un sous ou non), quand même, une soirée de concerts au sommet de la Citadelle, et ce avec le soutien du Belvédère et d’Ether Agency.
Cette soirée s’est déroulée ce samedi 25 juin, soit à la date initiale du Verdur, dans les installations de l’ancien terminal du téléphérique, soit … le Belvédère.
Et ce fut un succès musical, mais aussi de foule puisque les limites de l’endroit ont été atteintes (en résumé, c’était sold out). Nous étions sur place afin de vous offrir ces quelques clichés.
Dès 19h00, à l’ouverture des portes, les plus impatients s’engouffrent dans cette petite, mais agréable, salle perchée sur les hauteurs de la capitale wallonne. Au menu le sound-check du premier artiste à se produire quelques minutes plus tard, le très attendu Thomas Frank Hopper, qui va effectivement mettre d’entrée de jeu le feu (au figuré bien sûr) à la scène, pour le plus grand bonheur d’une assistance nombreuse et réceptive qui ne voit pas le temps s’écouler. « Quoi, c’est déjà fini, j’ai l’impression qu’il n’a joué que 5 ou 6 morceaux » entendra-t-on au coin du bar, et non, la star montante a bien livré 10 de ses opus, mais à un rythme tellement soutenu que tout le monde a perdu la notion du temps.
Assis, debout, couché … Thomas n’hésite pas à donner de sa personne tellement il est incarné et habité par sa musique, brute, sauvage, percutante et envoutante.
Snooz, clap 2e….
Bien chauffée par la performance tip-top du remuant Thomas Frank Hopper, la salle était fin prête à monter d’un cran encore dans l’univers rock avec l’arrivée sur scène du tout nouveau groupe, presque local (puisque tous les membres sont nés à Namur), Snooz.
Il fait de plus en plus chaud dedans, alors que dehors, la pluie commence à tomber. Il n’en fallait pas plus pour que le public s’agglutine devant une scène qui ne cesse de vibrer aux sons d’un rock pur et dur.
Le public est conquis. Mais il reste un morceau de choix avec un autre groupe namurois, Virgin Prozac. Et là, on atteint encore un step supérieur en visant le rock animal, voire presque bestial, pour le plus grand bonheur des amateurs d’un style plus hard encore. Dès les premiers accords, certains se lancent d’ailleurs dans des pogos dignes des meilleurs festivals du genre. Mais, tout en restant « bon enfant ».
Virgin Prozac, tout sauf un calmant…
That’s done ! Le rideau se baisse, les artistes vous saluent et vous remercient pour cette belle soirée.
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