Festival IncRock à Incourt…

Pour les gens malheureux , qui n’ont pas eu de sésame pour assister à la 10 ème année de ce festival.

On est donc rester confiné devant le pc et assister, grâce au direct des francopholies de Spa, qui a relayer en direct les concert de Grangeorge et de Cali.

Evidement on doit se contenter de ce que nous laisse les décisions gouvernementales, mais on ne fera pas la fine bouche, on a eu droit de revivre un peu, même si les masques enlèveront toujours un peu de cette folie que l’on doit avoir en concert. On ne vous parlera donc de ces deux concerts.

En début de soirée Grandgeorge qui nous a donner 50 minutes de pareil a lui-même… Chemise en jeans bleus classique lors de ses prestations scénique, et baskets blanches , et non pas pieds nus comme de coutume. On a entendu les classiques qui donne l ‘envie au public de chanter, de danser avec les rythmiques du band et l’excellente chanteuse Stefy Rica…La surprise est venue des coulisses lorsqu’est apparu Typh Barrow pour un duo très intéressant. Covid et distanciation oblige… Le public s’est quand même amusé et Grandgeorge est descendu dans le public masqué pour interpréter à la guitare et sa voix de droite la chanteuse Stefy …

La place était chaude pour la vedette suivante apparement tant attendue, le spectaculaire Cali.

Quel personnalité ce chanteur, atypique, aux voix diverses et poèmes chantés ou dialogués. Il nous imite Bono de U 2 ou encore Arno avec une facilité déconcertante et avec un humour, laissant entendre qu’il connait bien la Belgique. Il a d’ ailleurs dédié une chanson à une amie qui doit accoucher dans un hôpital bruxellois . La joie et la bonne humeur de cet interprète au grand coeur était communicative et son désir de se mêler comme d ‘habitude au public, était bien. présente. Targuer d’un masque il est descendu un étage plus bas pour satisfaire ce besoin de prendre la température (enfin au figuré car en cette période c’est pas marrant, et de toute façon il n’avait pas le thermomètre) … foutu virus. Y a quand même eu des coudes à coudes pour respecter les mesures…

Des frasques typiques à la Cali, couché par terre, tirant la langue, filmant a la place du cameramen, ou demandant qui a fait pipi sur scène avant lui, le clown pas triste en action. reprenant son sérieux pour des morceaux plus à textes, son registre est immense. Il ne manquait qu’un duo ! Il en a fait deux notamment avec Saule.

On sentait que les 50 minutes dévolues aux artistes en festival ne seraient pas respectées, et après s’être essuyer la transpiration, il revient sur scène et va même se désaltérer jusqu’à la buvette. C’est d’ailleurs l’avant dernier moment de la soirée qui était une vrai réussite pour ce festival.

Déçus de pas être sur place, il en faut pour tout le monde… ça repartira un jour comme avant.

On est tous d’accord , vite que ce virus dégage et nous redonne les spectacles et les joies qui se conjuguent à tous les temps…

Resumé et photos : BRAECKMAN Fabian

Fabian Braeckman (337)

Auteur & Photographe

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