Nous vous proposons régulièrement de découvrir de nouveaux talents, aujourd’hui, focus sur Anthony Alvarez une personne solaire comme j’aime à dire.

Il y a un peu plus d’un an, je découvrais Anthony sur Youtube avec une cover d’Adèle
 » When we were young  » et bien d’autres que je vous invite à découvrir sur sa chaine qui totalise déjà plus de 3 millions de vues et 12K d’abonnés.

Pour notre plus grand plaisir Anthony nous a accordés une interview haute en couleur qui nous permet de mieux comprendre son parcours ainsi que l’élaboration de ses projets futurs.

CFMBonjour Anthony peux-tu te présenter à nos lecteurs, on veut tout savoir ?

AA – Bonjour à vous et merci de m’accorder cette interview. Je suis né et j’ai grandi dans une famille Bruxelloisela musique a toujours été très présente. Mes parents et mes grandes sœurs m’ont transmis l’amour du chant depuis mon plus jeune âge. C’est donc tout naturellement que j’ai pris mon premier cours de chant à l’âge de 9 ans
J’ai tout de suite compris que ça serait mon plus grand plaisir dans la vie et je ne me suis 
jamais arrêté. 
À mon adolescence, je déménage à Liège et je découvre le monde de la danse grâce auquel j’ai pu faire mes armes sur scène pendant plusieurs années. Aujourd’hui,je débute ce nouveau chapitre de ma vie en retrouvant ma première passion, la musique.

CFMLa danse a une grande place dans ta vie ?

AA – Effectivement, en déménageant à Liège, mon beau père a très vite remarquer que j’aimais bouger et m’a dirigé vers des cours de danseMerci Papou.
Après quelques années de formation en Jazz, Street Jazz, Classique et Hip-Hop, la danse est vite devenue mon métier. J’ai eu la chance de rapidement travailler notamment sur Paris ainsi que de voyager dans plusieurs pays du monde comme les Etats-Unis, le Costa Rica ou encore le Mexique et la Colombie. Je suis ensuite devenu moi-même professeur et j’ai pu à mon tour former plusieurs générations de jeunes danseurs.

CFMQuel a été ton premier rapport avec la musique, comment est née ta passion musicale ?

AA – Comme cité plus haut, c’est grâce à ma famille qu’est né mon amour pour la musique, mais j’ai réellement du mal à me souvenir comment a démarré cette passion.
Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours chanté. Ma maman étant espagnole, elle m’a transmis le goût des rythmes latinos pour lesquels j’ai encore aujourd’hui une grande passion. Mon père quant à lui, était fan de chanteurs tels que « Nat King Cole », « Frank Sinatra », « Tony Bennett », « Dean Martin » et tous ces crooners indémodables d’où les nombreux oldies repris en covers sur ma chaine Youtube. Ensuite, ce sont mes grandes sœurs qui ont enrichi mon répertoire Pop, Rock et RnB des années 90.

CFMDepuis combien de temps as-tu commencé à faire ta propre musique ?

AA – Officiellement, cela fait 3 ans que l’envie m’a pris d’écrire et de travailler sur mes projets. Mais, j’ai eu difficile de trouver les bonnes personnes avec qui collaborer. C’est pendant le premier confinement et à la suite du cover « Cry to me » qui a fait plusieurs millions de vues, que j’ai rencontré mon ami français et musicien Yanni Kouvaris.
Nous avons collaborés sur quelques covers et très vite l’envie d’aller plus loin a pris le dessus.
Nous avons fait plusieurs maquettes dont « So mean » qui a tout de suite été ma préférée.

Photo – Moogli Zazzera

CFMAprès avoir commencé à poster des covers sur les plateformes, tu sors ton premier single  » So Mean  » d’un futur EP, que peux-tu nous en dire ?

AA« So mean » a été composé par Yanni et l’arrangement musical a été fait par Sébastien Orban, musicien et arrangeur de talent en Belgique.
La chanson parle de ces relations toxiques et à sens unique que nous pouvons tous vivre un jour. Mais plutôt que d’en faire une balade romantique, j’ai préféré jouer sur le contraste avec les guitares électriques et en faire un « hymne » à la délivrance émotionnelle.

Concernant mon EP, ce que j’aime le plus dans la musique c’est qu’il n’y a pas vraiment de règles. Je n’aime pas être rangé dans une case et je ne me considère pas comme un chanteur pop. En tant que danseur, j’ai toujours été polyvalent et je suis très éclectique au niveau musique. J’aime que mes chansons reflètent ma personnalité tout en abordant des sujets qui touchent tout le monde.

CFMQue ce soi en cover ou sur ton clip, tu sembles très épanoui quand on te regarde chanter, est-ce qu’on peut parler de lâcher prise ?

AA – Je suis quelqu’un de très spirituel, le lâcher prise a donc un sens important dans ma vie. C’est vrai que chanter devant un public ou s’afficher sur les réseaux demandent un certain lâcher prise mais j’essaye toujours de rester les pieds sur terre tout en gérant mes émotions … J’ai passé une grande partie de ma vie sur scène, c’est comme une drogue, on peut très vite s’y perdre.

CFMPeut-on s’attendre à ce que tu mêles la danse et ta musique ?

AAAbsolument ! La danse fait toujours partie intégrante de ma vie et est une belle corde à mon arc. Avec le nombre de danseurs que je fréquente, ce serait vraiment dommage de ne pas en profiter !

Photo – Moogli Zazzera

CFM – Si tu dois choisir trois albums de tout temps, ce serait quoi ?

AA – 1. Michael Jackson – Thriller / 2. Britney Spears – Blackout / 3. N’importe quel album de Queen

CFM : Question très importante pour nos lecteurs, avec quelle sauce tes frites ?

AA – Sauce tartare ou cheddar.

CFMQue peut-on te souhaiter pour le futur ?

AA Que ma chaine Youtube et ma communauté continuent de grandir et que mes chansons puissent toucher le plus de gens possible. Sur un niveau plus personnel, que je puisse continuer de m’épanouir dans ce que j’aime le plus dans la vie.

CFM Merci pour cet interview Anthony, le mot de la fin te revient.

AA – You better work !!!

Clip produit par Davide Zazzera – Direction artistique Anthony Alvarez

Propos recueillis par Yole

Yole (13)

Auteur ConFestMag

1 thought on “Anthony Alvarez  » So Mean « 

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