Eloi mélange les genres au mixeur.

Si c’est avec une reprise personnelle d’un titre de Wejdene (JTM de ouf) qu’Eloi se fait connaître dès 2022, on ne peut pas dire que la Parisienne soit une adepte de ce genre de musique.


Et pourtant, Eloi est très éclectique dans ses goûts musicaux, une palette large que l’on retrouve inexorablement dans son travail, qui est, paraît-il, inclassable tellement il est disparate au niveau des influences.


On y retrouve de la pop, de la chanson française classique, de l’électro, voire même des accents propres à la new-wave, un flow de rap et un jeu de guitare plutôt orienté rock.



En résumé, Eloi brise les barrières de genres, ajoutant ci et là des ingrédients d’un peu tous horizons. Un état d’esprit que l’on retrouve d’ailleurs dans son look.

Débardeur sans manches noir, short de boxe noir avec motifs rouges, ceinture à chaînes, bottes style Santiags, manchettes blanches, quelques piercings sur le visage (nez, œil) et une coupe de cheveux faisant inexorablement penser à Lisa Stansfield dans le clip de « All Around the World » (1989).

C’est avec « Lovestory_98 » que la chanteuse choisit d’entamer son set, soit un titre de son tout nouvel opus intitulé « Blast. » avant d’enchaîner sur « Call Me » de l’album « Dernier Orage ».

Eloïse Leau déborde d’énergie et la communique au public. Voilà une belle entrée en matière pour le reste de la journée.

PS : si vous voulez découvrir Eloi par vous-même, elle passera par le Botanique (Orangerie) ce 03 octobre, partageant l’affiche avec une autre jeune artiste qui commence à se faire un nom auprès du grand public, la Namuroise Lovelace.

Retrouvez les clichés du festival sur la page FB – ReMarck Photos.